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dimanche 24 avril 2016

Dérouiller, désoxyder du métal sans se fatiguer


Poncer, gratter, meuler ou décaper du métal rouillé pour le désoxyder avant de le repeindre (par exemple), n'est pas "un mal nécessaire".

Comme tout le monde, je me suis déjà fatigué à faire tout ça.
J'ai aussi essayé, avec plus ou moins de succès, les onéreux produits transformateurs de rouille.

J'ai pratiqué pas mal l'électrolyse qui était déjà, pour moi, un sacré progrès par rapport aux méthodes cités précédemment, même s'il y subsistait un certain nombre d'inconvénients:
. émission de gaz toxique
. risque d'endommagement de la pièce à traiter, lors d'inversion des polarités, décrochage de la pièce martyr, durée de traitement trop longue, etc..
. cramage de 2 ou 3 alims de PC

Et puis j'ai découvert, grâce à ma compagne il me semble bien ("il faut rendre à César ...."), le dérouillage par bain de vinaigre blanc (elle met du vinaigre blanc "à toutes les sauces").

J'avoue avoir été super septique au début.
Les seuls (légers) inconvénients que j'ai trouvé sont l'odeur (ouais ça pique un peu le nez, chuis une chochote : - ) et la coloration de la peau des mains (si on met pas de gant comme un gros bourrin que je suis) quand on les trempe dans le jus résultant (ça doit faire un super colorant à tissus d'ailleurs, mais à teinte unique : - ) pour sortir les pièces.

Par contre, pour un partisan du moindre effort comme moi, c'est le pied!

Les ingrédients
Il suffit de disposer:
. d'un récipient assez grand avec un couvercle étanche (pour limiter l'évaporation. Le vinaigre ressert plusieurs fois même "souillé")
. de vinaigre blanc en quantité suffisante (le moins cher va très bien)
. des pièces à désoxyder.



Je met les pièces à désoxyder directement dans le seau, sans même rincer l'éventuelle poussière, terre, graisse ou n'importe quelle autre saleté qui pourrait se trouver dessus.

Je recouvre complètement de vinaigre blanc
(là c'est pour faire l'article, mais en fait j'ai un gros seau de peinture rempli depuis plus de 4 ans qui me sert de "bain de dérouillage").
Si un pièce n'est pas immergée totalement, la partie "à l'air" ne dérouillera pas.

Je laisse mariner au moins une bonne semaine (ou plus longtemps si nécessaire) en général ça suffit largement.
Mais vous pouvez laisser mariner 6 mois, la pièce ne sera pas plus "rongée" contrairement à l'électrolyse.
Seul l'oxyde de fer réagit avec l'acide du vinaigre, pas le métal sain.

C'est prêt!
Miam
Au bout d'une semaine, une partie de la rouille s'est non seulement détachée, mais elle a formé une bonne croûte sur le dessus.

Surtout ne pas touiller, sinon ça se (re)dissout quasiment instantanément.

C'est là que j'en profite pour éliminer cette partie de déchet en utilisant (doucement) un simple râteau à litière.

Sortie de main
Sortie de bain

Juste au sortir du bain, les pièces ont presque le même aspect qu'en y entrant.
La plupart ont gardé la couleur rouille, mais d'autres prennent une couleur noirâtre, un peu comme avec les fixateurs de rouille.

D'autres encore, ont l'air "d'aller mieux", mais elles vont aller encore mieux après l'étape suivante.




Maintenant un bon rinçage:
. un petit coup de nettoyeur haute pression (je met les petites pièces dans un cageot ou un panier pour éviter qu'elles soient emportées par la pression).
. un simple passage sous l'eau avec une brosse plastique

Le métal ressort du rinçage avec une teinte légèrement grisâtre, un peu comme si on l'avait galvanisé.

Retour de rouille
Après le rinçage, il vaut mieux sécher les pièces sans trop tarder (certains utilisent un four électrique mais un bon chiffon suffit).
Sur ce métal mis à nu, et humide (on vient de le rincer à l'eau) l'oxydation revient vite.

Mais pas de panique non plus, l'oxydation  ne rattrape pas le temps perdu: si un peu de rouille réapparaît, une petit coup de brosse métallique suffit à la faire disparaître.

C'est très léger comme oxydation. Sur la photo, les pièces ont juste passés l’après-midi dans le coffre de ma voiture, sans avoir été séchées.

Mon gros seau
L'efficacité du vinaigre perdure: ça va bien faire 4 ans que j'utilise le même bain de vinaigre dans un gros saut de peinture: il est toujours aussi efficace.
C'est juste que c'est pas très ragoutant quand j'ouvre le couvercle.

De temps en temps, je vide le seau dans un filtre (mi-bas en nylon: pas cher, très efficace comme filtre) pour "récupérer" les morceaux de rouille collés au fond du seau.

samedi 23 avril 2016

Se débarrasser facilement des fourmis dans la maison

Au printemps, il arrive de trouver des fourmis dans la maison.
Généralement, ça commence par quelques éclaireurs qui prospectent ça et là, et si on laisse faire, ça se transforme en une véritable invasion.

J'ai déjà vu des gens sauter dessus à pied joint, les passer dans l'aspirateur (dont elles ressortent généralement au bout d'un moment), les gazer avec un bombe aérosol, etc...
Bref, que d'énergie dépensée en vain.

Voici comment on règle ça chez nous:
Déjà, il y a toujours un tube d’appât/fourmicide (que je me procure, tout simplement, en grande surface, rayon "droguerie") à la maison.
Ce type de produit se conserve généralement plusieurs années dans des conditions normales de stockage (c.a.d. au fond d'un tiroir) et comme une seule goutte suffit à éradiquer un nid entier, on en consomme très peu.

La première étape consiste à tenter de repérer le point de sortie des fourmis (généralement un trou sous une plainte, ou dans un joint de carrelage), histoire ne pas mettre du poison partout (avec des animaux domestiques et/ou des enfants en bas âge c'est mieux).
Si ce n'est pas évident, on demande de l'aide aux fourmis, en déposant devant l'une d'elles, une goutte de sirop (j'ai remarqué qu'elles aiment plus l'anis, la fraise ou le citron que la menthe ??).
Elle va goûter, le dire à ses copines et faire la queue jusqu'à leur nid pour y "ramener la goutte".
Du coup, au bout d'un bon moment, les fourmis vont constituer un véritable "trait" au sol, entre la goutte de sirop et l'entrée de leur nid.

Il suffit alors de déposer une belle goutte de poison/appât devant l'entrée du nid pour leur faciliter le trajet.
On peut aussi décider de zapper la première étape et mettre directement une goutte de poison/appât sous les yeux d'un éclaireur (mais juste devant le nid c'est mieux).
En présence d'enfant ou d'animaux, vous pouvez masquer la présence de la goutte par un objet, comme un meuble, un carton, etc...
Il n'y en a que pour 1 journée, voire 2 grand maximum. C'est pas le bout du monde.

Et voila: C'est fini! Il n'y a plus rien à faire.
Surtout ne plus les toucher, ou les embêter ou quoi ou qu'est-ce: ignorez les tout simplement.

Les fourmis vont rentrer le poison dans leur nid, se le partager, se le transmettre entre elles: bref, elles vont toutes bien s'empoisonner toutes seules.
Le produit fait réellement effet au bout d'une douzaine d'heures. Plus aucune fourmis ne sortira plus de ce nid.

Le lendemain, si vous voyez encore des fourmis, c'est que vous avez plusieurs nids (c'est rare mais pas impossible: on a eu jusqu'à 3 départs de nid en même temps).
Recommencez la procédure.

jeudi 21 avril 2016

Plaque anti-nuisible

J'ai fabriqué des plaques anti-nuisibles, assez simplement, à fixer sur le dessus de 2 poteaux bétons, à partir d'un couvercle de fût d'huile métallique et d'un "tire-clou".

Alors je précise de suite que par le terme "nuisible", je veux dire "nuisible à plumes ou à 4 pattes", sinon c'est, apparemment, illégal en France (suite à une discussion avec un quincaillier qui vend justement des anti-nuisibles à fixer dans un enduit ou un crépis, prévus officiellement donc, pour des "nuisibles à plumes" ou des "nuisibles à 4 pattes").
Par chance, dans mon cas, il y avait (aussi) une nuisance due à des mouettes ( - :

Le tire-clou est un appareil utilisé (de moins en moins) par les carrossiers pour souder la tête d'un "clou", par un arc électrique.
Le but original étant de "coller" un clou sur une tôle enfoncée, pour le cas, où on ne peut pas taper par derrière sur la tôle "pour la faire revenir".
Ainsi, en tirant sur ce clou à l'aide d'un système de masselotte, on détord la tôle.
Ensuite le clou est coupé et la tête meulée...
Je ferme la parenthèse.

L'astuce consiste donc à prendre une série de clou, à affûter correctement leur pointe sur une meule électrique (par exemple).
Et ensuite à les souder, à un endroit précis et repéré préalablement sur la plaque de tôle.

J'ai donc découpé 2 plaques dans un tôle de fut métallique, que j'ai sommairement poncées.
J'ai percé 2 trous, qui serviront de fixation, sur chaque plaque.

Ensuite, j'ai tracé, au crayon, un quadrillage de manière à avoir moins de 2,5 centimètres entre les croisements.

Et enfin j'ai soudé un clou sur un croisement non l'autre, de manière à avoir une répartition harmonieuse des clous.


Un petit coup de peinture pour qu'elles durent un peu plus longtemps et aussi pour qu'elles se voient mieux.

Personnellement, je préfère tout de même la dissuasion à la répression!

Il ne reste plus qu'à fixer sur les poteaux avec des chevilles à frapper.

Et voila, le prochain nuisible qui voudra mettre la main sur le haut de ces poteaux risque de s'en mordre les dents!



Complément d'Octobre 2016

Après les 2 poteaux béton du portail, il a, bien évidemment, fallu s'occuper des 2 vantaux du portail.

J'ai commencé par découper 2 bandes de ferraille dans 2 rails à placo (sur le moment, j'ai pas eu de meilleure idée, même si je me suis bien fait suer pour arriver à couper ça proprement sur la longueur).
Bon c'est du galva, alors pour que le soudure et la peinture se passe au mieux, j'ai dû meuler correctement les 2 cotés des bandes.
Chaque bande (comme chaque vantaux) fait 1,90m de long.

Prévoir des trous de fixation maintenant (les rails de placo en sont déjà pourvus) parce qu’après fixation des clous, ça sera nettement plus Rock'n Roll.

J'avais prévu de poser un clou tous les 3 cm en quinconce, soit environ 130 clous.
J'ai donc affuter 130 clous de carrossier à la meule électrique.


Ensuite, avec l'appareil de soudure approprié (le "pose-clou" ?), j'ai religieusement soudé ma forêt de clou.

Chaque tête de clou soudées a été bien brossée (toujours pour que la peinture adhère correctement).

Un bon coup de bombe de peinture rouge pour protéger le tout et que ça se voit de loin.

Il ne me restait plus qu'à fixer les bandes cloutées sur les 2 vantaux de portail à l'aide de rivets acier.

Là, du coup, je me demande s'il y a encore beaucoup de nuisible qui vont se laisser tenter par ce portail.
A suivre ....




Comment empester tout le quartier

Voici un titre qui suscite d'entrée nombre de question:
"mais pourquoi faire ?", "mais par quel ressort logique, en est-il venu à se poser cette question ?", "il suffit de brûler des pneus non ?", "il a pété un câble là ?"
Même si je précise que c'est "sans (trop de) toxicité" ça n'aide pas vraiment à trouver une réponse.

Alors voila comment j'en suis venu à répondre, bien involontairement, à cette question
(ensuite j'en ai fait un article, toujours dans l'esprit "si ça rend service, au minimum, à une personne, ....").

J'ai lu, sur des forums, des posts qui disaient faire brûler des coquilles de moule dans leur cheminée et répandre ensuite les cendres au jardin.
Je me suis (évidemment) dit "s'il y a moyen de se chauffer un peu et de réduire, un peu aussi, sa quantité de déchet en brûlant les coquilles de moules, faut que tu essayes".

Justement ce weekend là, c'était moules-fritte à la maison.
Quand j'ai dit à ma compagne de me garder les coquilles au lieu de les jeter, j'ai cru lire dans son regard bleu-acier "mais qu'est-ce qu'il va encore aller m'inventer avec ça ?".
J'ai rempli mon super "panier de brûlage", des dites coquilles et j'ai attendu, le soir, d'avoir un bon feu pour les poser dedans.

Les premières 10 minutes, devant le poêle, j'observais le début de la combustion des moules, tout allait bien.
Soudain,  ma chère et tendre a déboulé du couloir "mais c'est quoi cette odeur ? c'est une infection! qu'est-ce que tu fais brûler ? c'est à gerber"

Et c'est quand je me suis redressé que j'ai vraiment pris la mesure de la situation.
En fait, assis devant le poêle, il n'y avait rien à sentir de spécial.
Effectivement, debout, j'ai senti une odeur qui m'a fait penser (allez savoir pourquoi ?!) à l'incinération d'une carcasse putréfiée de baleine échouée sur une plage.

Heureusement que je n'avais pas jeté les coquilles en vrac dans mon feu, mais que j'avais utilisé mon fameux panier de brûlage.
J'ai donc empoigné le panier métallique que j'ai sorti prestement de la maison pour le noyer dans un bac d'eau.

Et là, je fus rapidement étonné de la forte persistance de l'odeur.
En fait, ce soir là, il y avait très peu de vent (le "plafond était bas" comme on dit).
Du coup, l'odeur s'était répandue dans tout le quartier (par la cheminée, suivez un peu : - ) au lieu d'être emportée par le vent ) - :
On se serait cru dans la fameuse scène où le village d'Astérix, dans l'album "Le Devin", est envahie par une fumée verte et fortement malodorante, sauf que là, c'était invisible.

Heureusement, pas de lumière chez mes voisins, ils devaient tous être endormis, et, par chance, un peu plus tard, une brise s'est levée, emportant avec elle cette odeur pestilentielle.
Entre temps, l'ouverture de toutes les fenêtres de la maison a permis de chasser la terrible odeur de la maison.

Donc:
1. Si un imbécile vous raconte qu'on peut se chauffer avec des coquilles de moule, faites un pas en arrière, pour prendre de l'élan et mettez lui un baffe de ma part. Qu'il vienne me la rendre, je l'attend de pied ferme.
2. Si vous voulez vraiment empester vos (ou un de vos voisins) sans pour autant l'intoxiquer (je ne suis pas chimiste, mais ça doit être relativement bio la fumée de moule par rapport à des pneus): mangez des moules et surveillez bien dans quel sens souffle le vent ( - :

Bon, je vois bien 2 ou 3 cas où cette méthode pourrait servir:
. Les voisins "seuls au monde" qui vous pourrissent l'été en brayant à longueur de journée et de nuit, avec leurs amis ou leur famille autour de la piscine ou d'un barbecue.
Rien de tel qu'un bon parfum vomitif pour vous gâcher une petite fête...
. une infestation de moustique (quoique, entre l'envie de gerber et les moustiques, je me demande si je préférais pas les moustiques ?).
Là, en tout cas, ça m'étonnerais que je pousse plus loin l'expérimentation ( - :
. pour les amateurs de jeux de guerre, type Paintball ou Air-soft, pour simuler une attaque de gaz toxique: Le premier qui vomit a perdu ?!


jeudi 14 avril 2016

Se chauffer en brulant du papier en vrac

A la suite de mon article "Des buches de papier facilement, rapidement, sans matériel spécial", quelques personnes m'ont demandé si j'avais une idée pour pouvoir se chauffer en brûlant du papier "en vrac".

Il est vrai que si on balance une poignée de feuille de papier en vrac dans un foyer, les feuilles supérieures vont s'enflammer rapidement, mais le reste va carboniser doucement, mais surtout étouffer complètement (suivant la quantité) le feu.

Il me semble que la problématique est assez proche de celle de la sciure:
si on met une grosse quantité de sciure dans un foyer allumé, il va se produire, dans un premier temps en tout cas, un étouffement du feu (La suite va différer quelque peu), j'ai donc pensé à tester les 2 mêmes solutions que dans le cas de la sciure ("Bruler, simplement, de la sciure et des copeaux, dans un poêle normal, pour se chauffer" et "Bruler de la sciure de bois dans un sac en papier").

La méthode du sac en papier ne m'a pas pleinement satisfait.
En effet, une fois que enveloppe du sac consumée, le tas de papier a une forte tendance à s’effondrer, s'étaler et finit par étouffer le feu.

La méthode du panier métallique par contre (vous remarquerez au passage, la nouvelle mouture, un peu plus costaud : - ) permet de recréer un semblant de bûche (carré) qui se consume gentiment, sans étouffer le feu.
Sur la photo, en vert, c'est notre poubelle "à papier": c'est là que nous mettons les papiers de banque, d'assurance, de santé, etc que nous préférons détruire "à la maison".

C'est lors du remplissage du papier de brûlage que j'ai regretté mon habitude de déchirer ces papiers avant de les jeter.
En effet, la meilleure manière de remplir le panier métallique, c'est de ranger proprement les feuilles comme dans un tiroir classeur.

Un panier bien rempli, bien serré, ne va pas trop mal comme "bûche de nuit"; ça garde bien la chaleur une bonne partie de la nuit.

Dans la même veine

mercredi 13 avril 2016

Photophore en terre cuite, à partir de pot de yaourt


Certaines marques de yaourt ont la délicate attention d'emballer leurs produits dans des petits pots de terre cuite.
Si ces petits pots font déjà d'excellentes tasses à café et autres petits caquelons pour des "œufs au lait", il est possible aussi de s'en servir pour confectionner des petits photophores.

J'ai testé leur résistance à la chaleur en laissant un de ces pots, plusieurs nuits d'affilée, dans le fond de mon poêle (où il m'arrive de faire fondre de l'alu dans la braise, donc il y fait très chaud). Le pot n'a pas bougé d'un iota, ne s'est pas fendu, ni rien d'autre.

Alors pour faire des photophores avec ces pots, il vous suffira de disposer d'une mini-perceuse (de marque ou non), de petites fraises diamantées de préférence et d'un petit bac (j'ai piqué un saladier plastique à ma compagne : - ) rempli d'eau.

En fait, tout est dans les fraises.
J'ai testé avec de bonnes fraises, sur une mini-perceuse de la marque bien connue, ou celle vendu chez des discounteurs, pas de différences.
Avec une mauvaise fraise, même avec la perceuse de marque, c'est l'horreur pour creuser la terre cuite.

Les fraises que j'ai utilisé ont été achetées chez LIDL pour quelques euros (comme quoi ?!).

L'astuce, c'est de fraiser la terre cuite... dans l'eau.
On met juste le pot et la fraise dans l'eau: pas la perceuse !  ( - :
Tout d'abord pour éviter l'échauffement de la fraise. Si elle chauffe trop, elle se détrempe et perd sa dureté.
Ensuite, l'eau évite à la poussière de gêner la vision.

D'abord je fais un esquisse sur le pot au crayon à papier.

Puis je repasse dessus avec un feutre à peinture (les feutres "pour métal" tiennent mieux dans l'eau que les feutres "acryliques")

Ensuite, je découpe avec la mini-perceuse et sa fraise, suivant mes tracés.

Série "Noël"

Pour Halloween
Saint Valentin

Type "5ème élément"